vendredi 20 juillet 2007

Le Racisme

Le racisme c'est vraiment débile!! Ca me fait penser au livre que "j'ai lu" cette année en cours : La controverse de Valliadolid.I l parle de la période où les Colombs ont découvert l'Amérique. En fait c'est un débat qui essai de prouver que les indiens ne sont pas une race inférieure. Il est déterminer qu'ils sont identique à nous (mais avec culture, tradition... différentes à nous) : C'est bien! Mais la dernière ligne dit (à peu près) : "Et un noir balaya la salle".
Je pense que si je croise un raciste il risque de s'en prendre plein la tronche! lol

Voici justement quelques histoires qui font réfléchir...


Dans un Avion :

Une femme appelle l'hôtesse:
- "Quel est votre problème, Madame ? Demande l'hôtesse.
- Mais vous ne le voyez donc pas ? répond la dame. Vous m'avez placée à côté d'un noir. Je ne supporte pas de rester à côté d' n de ces êtres dégoûtants. Donnez-moi un autre siège.
- S'il vous plaît, calmez-vous, dit l'hôtesse. Presque toutes les places de ce vol sont prises. Je vais voir s'il y a une place disponible."

L'hôtesse s'éloigne et revient quelques minutes plus tard :
- "Madame, comme je le pensais, il n'y a plus aucune place libre dans la classe économique. J'ai parlé au commandant et il m'a confirmé qu'il n'y a plus de place dans la classe exécutive. Toutefois, nous avons encore une place en première classe."

Avant que la dame puisse faire le moindre commentaire, l'hôtesse de l'air continue :
- "Il est tout a fait inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne de classe économique de s'asseoir en première classe. Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu'il serait scandaleux d'obliger quelqu'un à s'asseoir à côté d'une personne aussi répugnante."

Et s'adressant au noir, l'hôtesse dit :
- "Donc, Monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main car un siège en première classe vous attend."

Et tous les passagers autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent et applaudirent...


Le Prof :

- Dis-moi, Benoît, qu'est-ce que tu as fait pendant la récréation ?
- J'ai joué dans le bac à sable, Monsieur.
- Très bien, Benoît. Viens au tableau. Si tu arrives à écrire "sable" correctement, tu pourras rentrer une heure plus tôt à la maison...
- Voilà, c'est très bien, Benoît. Le prof se tourne vers un autre élève :
- A ton tour, Bastien, qu'est-ce que tu as fait pendant la récréation ?
- J'ai joué au bac à sable avec Benoît, Monsieur.
- Eh bien, Bastien, si tu arrives à écrire "bac" correctement au tableau, tu pourras rentrer en même temps que Benoît...
- Voilà, c'est parfait.
- Et maintenant toi, Mouloud, qu'est-ce que tu as fait à la récré ?
- Euuuuh, moi, missieu, ji voli jouer au bac à sable, mais Binoît et Bastien z'ont pas volu, m'ont dit d'mi casser !
- Mais, quelle horreur ! C'est la manifestation d'une discrimination scandaleuse d'un groupe ethnique minoritaire dont l'intégration sociale pourrait être remise en cause, et en plus, dans ma classe ! Écoute, Mouloud, si tu écris correctement au tableau "discrimination scandaleuse d'un groupe ethnique minoritaire dont l'intégration sociale pourrait être remise en cause", tu pourras toi aussi rentrer chez toi une heure plus tôt.


L'aide sous la Pluie :

Dans la soirée, vers 23h30, une femme âgée noire se tient le long d'une autoroute de l'Alabama tentant de se protéger de la pluie battante. Son auto est tombée en panne et elle a désespérément besoin d'un transport. Détrempée, elle décide de demander l'aide de la prochaine voiture qui passe.

Un jeune homme blanc s'arrête pour lui porter secours, situation très peu courante dans les années 60 troublées de conflits raciaux. Le jeune homme l'amène en sécurité, l'aide à trouver du secours et lui procure un taxi. Elle a l'air très pressée, mais prend le temps de noter son adresse et le remercie.

Sept jours plus tard, on vient cogner à la porte du jeune homme. A sa grande surprise, on lui livre une télévision couleur grand format. Une note y est attachée.
Elle dit : "Merci bcp de m'avoir porté secours sur l'autoroute l'autre jour. La pluie avait transpercé non seulement mes vêtements mais aussi mon esprit. Puis vous êtes arrivé. Grâce à vous, j'ai pu me rendre au chevet de mon mari mourant juste avant qu'il ne rende l'âme. Dieu vous bénisse pour m'avoir aidé et pour votre dévouement pour les autres. Bien à vous, Mme Nat King Cole."


Voilà, alors j'espère que cet article vous plaît et surtout qu'il fera changer, ne serait-ce qu'un peu, les mentalités...

2 commentaires:

DJzumi(.skyblog.com) a dit…

tout à fait d'accord avec toi !

Anonyme a dit…

totalement dac avec toi!
mél